Qui sont les membres du CA?

David Marcotte

Administrateur

Parcours en bref

De comptable à fiscaliste, puis directeur en fiscalité auprès des Pl. Fin., David Marcotte possède un parcours riche, fondé sur la rigueur et la curiosité. Professionnel engagé et orienté vers les solutions, David est directeur principal en planification fiscale et successorale chez IG Gestion de patrimoine. Titulaire d’un Executive MBA et diplômé des programmes de gouvernance du Directors College (ASC - C. Dir.) et de l’Institut des administrateurs de sociétés (IAS.A), il a développé une solide compréhension des meilleures pratiques en matière de gouvernance. David possède également des compétences pointues en information financière, en fiscalité et en performance organisationnelle. Il valorise la diversité des perspectives et croit profondément au rôle stratégique d’un CA dans la création de valeur durable. Au fil des ans, il a siégé à plusieurs conseils d’administration, notamment ceux de la Caisse Desjardins Godefroy, du GRIS-Québec et de la Fondation du Cégep de Trois-Rivières. David Marcotte est membre du CA de l’Institut depuis juillet 2025.

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Côté engagement

Pourquoi est-il important de s’impliquer?

La diversité des points de vue est très importante. Toute organisation devient privilégiée lorsqu’elle a un CA composé de personnes ayant des expériences professionnelles et universitaires variées. Chacun joue un petit rôle au CA, mais ensemble on vise à amener l’organisation plus loin.

D’après vous, quelles sont les compétences et les qualités nécessaires pour être un bon administrateur?

L’indépendance d’esprit, une capacité d’analyse avancée, une excellente compréhension de la saine gouvernance et une certaine capacité à bien s’exprimer.

Qu'est-ce qui vous a motivé à siéger au conseil d'administration de l'Institut?

Quand j’ai commencé à travailler chez IG en 2024, on accompagnait essentiellement les Pl. Fin. Alors j’ai fait mon Cours de formation professionnelle à l’automne 2024 et l’expérience m’a beaucoup plu. Par ailleurs, j’avais siégé auparavant au CA d’une Caisse Desjardins à Bécancour et j’avais aimé ça. Alors quand j’ai su au printemps 2025 qu’on recherchait des candidatures, je me suis dit ‘pourquoi pas’ ! C’était le bon moment pour moi, sans oublier que la gouvernance m’a toujours passionné.

D’après vous, quelle est votre valeur ajoutée au CA de l’Institut?

Je pense que ma contribution se distingue à deux égards : j’apporte mon expérience et mes connaissances en matière de gouvernance, et il y a mon regard en tant que jeune, ma connexion avec la nouvelle génération, leurs façons de faire et leur réalité du monde des affaires.

Qu’est-ce que vous aimez le plus dans votre rôle au CA?

Voir l’organisation évoluer. Réfléchir et échanger avec mes collègues tout en conservant mon indépendance d’esprit. J’aime aussi travailler sur le long terme, dans cinq, dix, quinze ans. Dans mon rôle professionnel comme fiscaliste, c’est souvent sur ces horizons-là qu’on porte notre regard.

Côté style

Qu’est-ce qui vous inspire?

Les personnes bienveillantes qui performent à haut niveau. 

Un livre que vous recommandez?

La Loi de l’impôt sur le revenu du Canada. C’est mon coffre à outils. Oui c’est une blague… enfin, à moitié! Je l’amène partout avec moi. J’en ai même une dans ma voiture. À mes 30 ans, c’était drôle... Mes amis ont trouvé une pâtissière pour me faire un gâteau en forme de la Loi de l’impôt sur le revenu!

Vos loisirs préférés?

Des moments en famille, la natation, le vélo et un bon livre.

Quel est l’endroit que vous avez préféré visiter?

La Tunisie et l’Espagne, de préférence égale.

Pouvez-vous nous raconter un fait inusité sur vous?

J’ai déjà été pris dans un convoi VIP en 2017. J’étais en vacances avec des amis en Bosnie-Herzégovine et on devait s’arrêter dans un petit village pour dîner avant de se rendre à l’aéroport. On se stationne et puis là, soudainement, six ou sept VUS noirs arrivent en vitesse! Tout d’un coup, des types sortent de tous les véhicules. On voulait sortir de notre voiture mais ils nous disent ‘ah non, vaut mieux rester dans l’auto’. Alors on n’a pas pu aller dîner, on était pris là. On pense que c’était le président de la Bosnie-Herzégovine. En tous cas, c’était un concours de circonstances incroyable.