Qui sont les membres du CA?

Côté engagement

Comment le CA contribue-t-il à la mission et aux valeurs de l’Institut?

Il pose un regard neutre et impartial sur l’organisation et s’assure que les décisions soient prises conformément à la mission et aux valeurs de l’Institut.

Qu’est-ce que vous aimez le plus dans votre rôle au CA?

J’aime le fait de participer aux discussions et aux prises de décision qui auront une influence sur l’avenir de la profession. Je prends également plaisir à échanger avec mes collègues sur leurs expériences et leur vision.

Qu’est-ce qui vous a motivé à siéger au conseil d’administration de l’Institut?

C’est ma première expérience en tant qu’administrateur. Ce n’est pas une décision qu’on prend à la légère, surtout avec un emploi du temps chargé. Mais en même temps, je trouve que plus on est occupé, plus on fait attention à la façon dont on investit notre temps. J’aime la direction que l’Institut a prise. Il n’y a aucun doute qu’il y a beaucoup de défis à l’horizon. Ça peut paraître un peu cliché mais je voulais siéger au CA de l’Institut pour avoir un impact sur l’avenir de la profession. En plus, j’ai l’occasion d’échanger avec des collègues, d’agrandir mon réseau, mais aussi d’étendre mes connaissances sur différents aspects de l’industrie. Donc je voyais plein de points intéressants.

Qu’est-ce qui vous a dit un jour que la planification financière était pour vous?

J’ai deux adolescentes puis on est justement dans ces discussions-là, au sujet de leurs intérêts et de leurs possibilités de carrière. Je me souviens qu’à leur âge, j’aimais la finance, les chiffres, les marchés. Mais ce qui m’a vraiment attiré vers cette industrie, puis amené à la profession de planification financière, c’est plus l’aspect humain. Mon profil, ce n’est pas de faire des tableaux, des projections… C’est plus d’écouter les gens, de les comprendre, de les aider et de reconnaître ce qui est important pour eux. Et la planification financière, c’est le véhicule qui nous permet de faire tout ça.

Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui envisage de siéger au conseil d’administration?

Des fois, on passe beaucoup de temps à dire comment les choses devraient être, mais on ne fait rien. Être administrateur, c’est un engagement qui nous permet d’avoir notre petit mot à dire. Alors si on est ouvert d’esprit et motivé par l’idée d’améliorer les choses, d’aider les gens et de rencontrer de nouvelles personnes, c’est une expérience qui peut être très agréable pour des jeunes qui veulent s’impliquer dans l’industrie.

Côté style

Y a-t-il une expression que vous utilisez fréquemment?

« Nous devons contrôler ce que nous pouvons contrôler. » Cette phrase-là, je l’utilise avec mes collègues, mes enfants… L’idée, c’est d’éviter les distractions. Arrêtons de souhaiter que tout change autour de soi. Il y a des choses qu’on peut faire pour améliorer la situation. Commençons par ça.

Vos loisirs préférés?

Ski alpin, golf, hockey

Un livre que vous recommandez?

Tous les livres de Yuval Noah Harari, Sapiens en particulier.

Quel est l’endroit que vous avez préféré visiter?

Rome. J’adore l’histoire.

Quelle est votre cuisine préférée?

Je suis gourmand et très ouvert sur la nourriture. J’aime expérimenter la cuisine étrangère en général : grecque, libanaise, italienne, japonaise, etc.

Un fait inusité à votre sujet?

J’ai joué au hockey de niveau professionnel pendant cinq ans aux États-Unis, en Europe et à Toronto. Ce que j’ai toujours aimé dans le sport, c’est le fait de travailler avec d’autres personnes dans un but commun. Former une équipe, c’est relativement facile. Former une équipe agréable, compétente, performante, c’est autre chose. Le sport m’a enseigné plusieurs choses – la discipline, le travail d’équipe, l’imputabilité – que j’utilise dans ma carrière maintenant. C’est une très belle école pour t’aider à évoluer dans le milieu professionnel.